See you next week lui dis-je, good night sweety il me répond comme si sweety était un beau mot parmis les autres pour aléger his load of shit talking. Il s’ endors tout habillé comme à l’habitude depuis longtemps sur le divan et moi et Gordon dans la chambre. Bonne nuit mon cher Steven and dont forget, si le divan est pas assez confortable pour toi et ben JUST FUCK IT ALRIGHT?
À BOIRE Mon histoire avec Glasgow n’est pas des plus ordinaire, disons le comme ça. Après un court séjours à Londres, j’embarquais dans le train en destination de Glasgow la petite Barcelone. À destination, nous sommes le 26 juillet 2013 en après midi, il est 16h, il fait beau, le ciel est bleu, c’est loin de ressembler à la ville pluvieuse que l’on dépeint dans les guides. La Gare Centrale bourdonnes de gens, un orchestre de Jazz formé de musiciens à la tête blanche diverti les voyageurs. Le temps de sauter dans un taxi et j’étais arrivée au Pond Hôtel. Mon téléphone était complètement déchargé (j’avais un Galaxy S3, vous comprendrez) comble du malheur, mon chargeur était resté dans ma chambre d’hôtel à Londres. Il faillait donc que je me décide d’aller à la recherche d’un chargeur de téléphone. Personne dans cet hôtel ne semblait savoir ou me diriger à part le valet. Ce fut mon baptême avec l’accent Glasvegien. Une chance que je comprennais les signes qu’il me faisait car je chercherais encore mon chargeur à l’heure qu’il est. Quoi qu’il en soit, il me dirigea vers Byers Road …
Laiton, chaise en bois d’hêtre, ardoise, brou haha, rouge, serveurs masculins au long tablier, mille feuille, café crème, tartare, burger, crème brulée, croque-monsieur, bruit des cuisines, rythme rapide des serveurs… Tels étaient les standards du vieux bistrot français traditionnels. Autrefois petit restaurant, débit de boisson, aujourd’hui le bistro, sans s’être complètement réinventé, s’est joliment raffiné. La carte s’est diversifié, les produits se sont multipliés. Tant bien qu’il est maintenant considéré comme un endroit ou la gastronomie a élu domicile à jamais sans toutefois arborer un air hautain. Plusieurs grands chefs de ce monde ont ouvert un bistro en version plus abordable que leur restaurant gastronomique phare. Il s’agit d’une belle manière de manger à une table ou les ingrédients frais, le personnel formé et minutieux, l’importance accordée à l’atmosphère et au design font partie de l’experience à laquelle on peut s’attendre en visitant un bistro moderne. J’aime beaucoup la formule bistro. J’ai été très souvent agréablement surprise. Loin d’être experte, il y a un bistro que j’aime aller et retourner. Il s’agit du Bistrot Café du Monde …
Le dumpling Gyosa, raviolli, pierogi, jiozi, quenelle, shoronpo wonton… Plusieurs pays ont leur version du dumpling, un peu différents les uns des autres mais toujours un incontournable dans chacun de ces pays. Je vous parlerai aujourd’hui du dumpling chinois. Le dumpling consiste en une feuille de pate façonnée en boule ou tout autre forme complexe et farcie normalement de crevettes, de porc, de bœuf mais les combinaisons sont infinis. On peut les faire bouillir comme dans une soupe won ton, ils seront translucides comme dans l’image, les faire cuire vapeur dans un panier d’osier de cuisson, les frire, ou moitié frit moitié vapeur, les pot stickers. Moi c’est moitié moitié que je préfère. C’est loooong à faire mais ceux que je prépare, je les congèle, ils ne durent cependant pas plus d’une semaine, impossible de penser à autre chose lorsque je j’en ai de congelé. C’est malheureusement très inégal dans les retros, la maitrise de ce met ne semble pas être une chose courante. Glasgow, terre d’accueil de nombreux asiatiques compte son lot de restaurants à dumplings. J’en ai visité …
Moijmange 